
Las, Une arnaque presque parfaite est loin d'avoir la classe d'un Ocean's 11 ou la carrure d'un The Game, son scénario s'empêtrant dans une tentative de brouillage des pistes qui ne trompe jamais, peu aidée par deux acteurs loin du sommet de leur art, Adrien Brody cabotinant trop peu joyeusement et Mark Ruffalo trop peu percutant pour nous surprendre ou nous intéresser à ses combines. Reste une Rachel Weisz délicieusement ingénue, certainement celle dont le jeu est le plus en phase avec cette succession de gags venant donner un peu de mordant à un film trop souvent versé dans la trouvaille visuelle plutôt que la recherche du pétillement permanent.
Rang : D
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on 06 août 2009
at jeudi, août 06, 2009
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Critique de film
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