Après le mitigé Las Vegas 21, Robert Luketic retourne à la comédie avec L'Abominable vérité, un film réunissant l'une des stars montantes du genre (Katherine Heigl) et un acteur habitué aux grands écarts (Gerard Butler). Car au pays des comédies romantiques, il devient de plus en plus ardu de faire son trou tant elles sont légion dans le cinéma contemporain. Bien sûr elles ne manquaient pas du temps où les Billy Wilder faisaient tourner les Marilyn Monroe et autres Audrey Hepburn. Mais comment ne pas constater une recrudescence depuis que le joli minois de Hugh Grant a fait des ravages dans Quatre mariages et un enterrement, ou avant lui Richard Gere s'acoquinant auprès d'une Pretty Woman.
L'Abominable vérité n'en est pas à ce niveau-là. Cependant, même si les éternels clichés du genre s'invitent régulièrement, il dégage de ce long métrage un certain vent de fraîcheur, notamment grâce à ses deux acteurs principaux, impliqués et cabotins à souhait. Si tout est convenu d'avance, le rythme soutenu et le mordant des répliques permettent à la complicité de naître et sans mal nous embarquer dans un délire assumé plein de légèreté et d'insouciance. Parfois, on en demande pas davantage.
L'Abominable vérité n'en est pas à ce niveau-là. Cependant, même si les éternels clichés du genre s'invitent régulièrement, il dégage de ce long métrage un certain vent de fraîcheur, notamment grâce à ses deux acteurs principaux, impliqués et cabotins à souhait. Si tout est convenu d'avance, le rythme soutenu et le mordant des répliques permettent à la complicité de naître et sans mal nous embarquer dans un délire assumé plein de légèreté et d'insouciance. Parfois, on en demande pas davantage.
Rang : C
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on 29 août 2009
at samedi, août 29, 2009
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Critique de film
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