Wall Street 2 s'offre un teaser !  

Posted by Azariel in


Bonjour. CinéBlog vous informe de l'invalidité intellectuelle d'Azariel en raison d'une fatigue harassante due à de longs efforts dans le cadre de ses fonctions journalières. Nous vous prions de nous excuser et vous assurons que quelques lignes seront prochainement écrites sur la bande-annonce que vous vous apprêtez à regarder.

Merci CinéBlog. Ils sont efficaces dis donc chez Google, ils prévoient même le répondeur personnalisable !

Trêve de plaisanterie, venons-en au film. Suite logique du célèbre Wall Street premier du nom en ces temps où les traders continuent de manipuler les capitaux au gré des lois qui régissent la communauté internationale, Wall Street : l'argent ne dort jamais (traduction fidèle du titre original) sera à nouveau réalisé par Oliver Stone, pierre angulaire du cinéma hollywoodien en son temps, âme en peine (et en panne d'inspiration) depuis quelques temps. En effet, difficile de voir en W. - L'improbable Président (lire la critique) ou même World Trade Center du grandiose. C'est même plutôt l'inverse.

Néanmoins, retrouver Gordon Gekko (Michael Douglas) et son "sens du business aiguisé" est loin d'être anodin, Wall Street ayant été en son temps une très belle réussite. Entouré de Shia LaBeouf dont il va être le mentor, Josh Brolin, et Charlie Sheen, Gekko aura pour but de se rapprocher de sa fille qui le snobe depuis son séjour en prison. Aïe. Ces premières images mettent d'autant plus l'eau à la bouche, alors faisons une prière (c'est très américain, après tout) pour qu'Oliver retrouve de sa superbe. Nous le saurons le 05 Mai 2010 !


In the Air  

Posted by Azariel in

A croire que tout ce que touche Jason Reitman se transforme en or ! Après la très belle parenthèse Juno, le fils du célèbre réalisateur Ivan Reitman (souvenez-vous, S.O.S. Fantômes !) revient dézinguer avec une justesse désarmante monde de l'entreprise et individualisme, et à travers eux il nous offre une satire sociale à la fois acerbe et mélancolique pour dépeindre cette Amérique désenchantée dont le rêve idyllique n'est plus qu'un lointain souvenir.

Il n'y était déjà pas allé de main morte dans Thank you for smocking, usant sans modération de l'ironie mordante qui caractérise son cinéma. Ici, le sarcasme est doux-amère, la collision n'étant pas frontale mais humaine avant tout. Jugez plutôt : Ryan Bingham (George Clooney) fuit depuis toujours le moindre engagement, préférant sa vie professionnelle au bonheur d'une relation stable. Sillonnant l'Amérique dans les airs, son travail un rien sadique a fait de lui un spécialiste du licenciement convoqué par des chefs d'entreprise n'ayant le courage de se salir eux-mêmes les mains. Seulement, derrière son sourire un rien charmeur et sa méthode merveilleusement calibrée se cache une conscience trop soucieuse de son prochain pour en faire le monstre qu'il voudrait être. Sa rencontre avec la ravissante Alex Goran (Vera Farmiga) va finir par bouleverser ses certitudes et la vie d'hôtel qu'il chérit tant. Et doucement, avec une pudeur qu'on ne lui connaissait pas jusque là, Reitman va opérer la métamorphose du poignard en crève-coeur, son personnage aérien étant ramené aux réalités qu'il tentait de fuir depuis toujours.

Il faudra s'y faire : George boit autre chose qu'un Nespresso !

La beauté de ce chambardement se trouve dans le procédé d'inversion que connaît Bingham, étreint par la détresse de se retrouver écrasé par un système dont il se disait jusqu'à ce que l'amour s'en mêle le plus fervent défenseur. George Clooney trouve là l'un de ses plus beaux rôles, son statut de bellâtre étant fermement malmené par un scénario intelligent et malicieux, d'ailleurs récompensé aux derniers Golden Globes, à juste titre. Ne sachant plus qui du marteau ou de l'enclume il doit se faire l'apôtre, il finira inexorablement par se retrouver entre les deux, malmené par ses convictions vacillantes et son assurance chancelante sitôt qu'il se découvre à la fois grand frère et amant.

Reitman s'emploie à dévoiler avec parcimonie son jeu, tapant fort dans la première demie-heure sur l'aspect railleur, pour subtilement, à l'aide de gants de velours, de maîtrise, de légèreté, glisser vers le portrait d'un homme tourné en dérision par le reflet de son propre miroir. Avec un tel film, au twist final un brin déprimant, difficile dès lors d'affirmer que la solitude est le remède aux maux de la terre. En cela, In the Air constitue une comédie aux charmes étincelants et à la magie ensorcelante.


En bref : On pourra ne pas apprécier le glissement qu'opère In the Air en son sein, démarrant comme une satire sociale acerbe et se concluant comme une comédie romantique à la fois drôle et amère. Il n'empêche que quelque soit la piste d'envol que prend le pilote Jason Reitman, il embarque son spectateur sans peine. L'atterrissage n'est pas au programme, préparez-vous à un voyage sans escale vers du cinéma de haute volée !

Rang : A

Gainsbourg - (vie héroïque)  

Posted by Azariel in

La messe est dite dès la fin du générique : ce qui n'aurait pu être qu'un biopic sur l'une des plus grandes gueules françaises du siècle dernier se révèle être un conte moderne diablement culotté. Loin des velléités nourries par Antoine de Caunes pour son film sur Coluche (lire la critique), Joann Sfar compose avec des ambitions autrement plus audacieuses, sinon personnelles, pour brosser le portrait de Serge Gainsbourg, poète maudit avec son éternelle clope au bec aussi imprévisible qu'imperceptible.

Toute l'insolence de la démarche de Sfar est de réussir à conjuguer avec brio vérités inaliénables et inventions fantasmagoriques, le tout enrobé de trouvailles narratives et visuelles confinant à une indécence des plus jouissives. A commencer par l'idée de faire cohabiter Gainsbourg et Gainsbarre à travers une marionnette, foutrement subversive, caricature suivant dans l'ombre l'artiste dans ses déambulations, image nostalgique et tortionnaire d'un homme qui cédera à ses démons à la fin d'une longue route pavée de provocations légendaires et d'inspirations sylphidiques. Une magnifique métaphore du génie à double tranchant, évacuant les pores incestueux d'une illumination impulsive qui caractérisait l'art de ce grand bonhomme. On retrouve là toute la force inhérente au cinéma qui ne s'encombre pas d'explications superflues quand un plan au service d'une belle histoire suffit à raconter. Constamment dans l'effleurement, le cinéaste ne s'encombre pas de réalités connues de tous et évite ainsi le piège des vignettes-clichés, privilégiant une approche romantique et romanesque du personnage avec élégance et sagacité.

Il manquera bien sûr la profondeur que l'approche évanescente ne permet pas, la descente aux enfers et la transformation attendue de Gainsbourg en Gainsbarre, le séducteur se métamorphosant en provocateur, mais Sfar navigue vers d'autres horizons, moins manichéens, et embarque sans peine le spectateur dans un voyage qui est le sien dont la qualité est d'être à la portée de tous.

Eric Elmosnino. Un en mot : bluffant !

La réussite de Gainsbourg - (vie héroïque) tient énormément à la qualité de l'interprétation de ses comédiens, à commencer par celle d'Eric Elmosnino, bluffant dans le rôle-titre. Dès les premiers plans, ce n'est pas l'acteur se glissant dans la veste du chanteur que l'on aperçoit mais bel et bien Serge Gainsbourg, ressuscité par un jeu de composition exemplaire, sans la moindre fausse note, évitant le numéro mimétique et chopant toutefois la gestuelle et le phrasé de son modèle avec une classe qui force l'admiration. La regrettée et talentueuse Lucy Gordon dans la peau de Jane Birkin n'a rien à lui envier tant il se dégage d'elle la fragilité de son parangon dans un déluge de grâce et de raffinement. Même constat pour Laetitia Casta, aussi incendiaire et sensuelle que Brigitte Bardot dont elle interprète le rôle, troublant les sens de par sa simple présence.

Dommage dès lors que l'apparition à l'écran de Boris Vian, pourtant pygmalion mythique de Gainsbourg, Juliette Gréco, plante vénéneuse irrésistible, et France Gall, cruche au trait insidieusement forcé pour correctement l'esquisser, ne soient qu'anecdotiques. Ces irruptions à vocation certes dialectiques auraient pourtant mérité d'être occultées ou approfondies, mais en l'état, elles manquent de probité.

Que ceux qui veulent la place d'Elmosnino lèvent le doigt !

Qu'importe au fond, car les figures avec lesquelles Joann Sfar compose dans les grandes lignes sont à l'image de ses convoitises excessives, celle d'offrir à l'inconscient collectif la réminiscence de portraits dignes de sa fable, éthérés et fantasmés, illusoires et allégoriques. Il se fait poète d'un récit populaire, transcende le mythe et insuffle la magie nécessaire à son accomplissement. Mieux encore, il s'offre le luxe de faire chanter ses acteurs pour davantage de pertinence, certains duos, dont celui avec Bardot, étant particulièrement convaincants.

C'est cet ensemble de paris osés et de partis pris qui donne à Gainsbourg - (vie héroïque) sa couleur éclatante d'intimité et permet aux maladresses de trouver l'acception absolue et indispensable au tracé original et enivrant imposé par le dessinateur du Chat du rabbin. De cette complicité sollicitée dès la première minute naît une fascination à la fois pour le personnage et en même temps pour le film qui le dépeint. Ce n'est certes pas un chef-d'oeuvre, mais cela reste du grand art !




En bref : Conteur de talent, Joann Sfar offre à son public une merveilleuse fable romanesque sur la vie de l'inimitable Serge Gainsbourg. S'il réussit avec tant de brio, c'est parce que le cinéaste se laisse porter par ses aspirations les plus personnelles en trouvant l'inspiration tant dans la légende que dans son approche documentée mais insolente. Il évite ainsi l'écueil du biopic classique et procède avec élégance par petites touches qui font de ce portrait visionnaire une ode à l'artiste et à son Oeuvre.

Rang : A

A Serious Man  

Posted by Azariel in

Fini les stars et les paillettes aperçues dans Burn After Reading (lire la critique), retour aux premiers amours pour les frères Coen avec A Serious Man, comédie d'un noir profond et généreuse à souhait, mise en abîme d'un prof' de physique juif totalement dépassé par sa vie entre son mariage qui bat de l'aile, un élève qui lui fait du chantage, un frère qui n'en finit plus de squatter son canapé et sa salle de bain, ou encore ses enfants se disputant les quelques billets qu'il lui reste dans son portefeuille après les lui avoir subtilisés. Alors que sa vie s'écroule, il décide de consulter trois rabbins en espérant découvrir sinon le salut des solutions.

A la fois grave et léger, drôle et inquiétant, A Serious Man est certainement le film le plus personnel de Joel et Ethan Coen qui a la curieuse vocation de rassembler toute la filmographie des cinéastes en un film pourtant mineur, de permettre de saisir ce qui a fait leur cinéma d'antan mais aussi d'aujourd'hui. Trop personnel sans doute, car si l'on peut se reconnaître à travers le personnage de Michael Stuhlbarg, grand habitué des scènes de théâtre et mémorable pour ses prestations à Broadway qui furent couronnées de nombreux prix, l'humour qui pimente le sérieux de cette loufoque entreprise est inégal et par moment imperceptible. Il est à l'image de la fin brutale qui vient clore la narration, l'expectative qui faisait merveille dans No Country for Old Men laissant ici dubitatif. C'est d'autant plus regrettable que notre attachement pour cet homme à la recherche d'un nouvel équilibre est certain, et l'on aurait souhaité sans aucun doute une fin bien moins égoïste. A l'image du film, en somme.


Rang : C

Le Livre d'Eli  

Posted by Azariel in

Huit ans après le labyrinthique From Hell, porté par un Johnny Depp impeccable, les frangins Albert et Allen Hughes remettent le couvert avec Le Livre d'Eli, conte post-apocalyptique réservant autant de bonnes que de mauvaises surprises.

Eli, c'est Denzel Washington. La démarche certaine, la stature imposante, l'acteur transpire le danger et apporte à son personnage une opacité émotionnelle rivalisant avec sa transparence féline. Il faut dire que le bonhomme, apparemment expert dans le maniement du long canif' bien aiguisé, protège à la fois le contenu et le contenant d'un bouquin depuis trente ans. Trente ans d'errance dans un monde où les humains en majorité ne savent plus lire, ne connaissent que la barbarie, et apprécient inviter leurs voisins pour dîner. En face, Gary Oldman, inoubliable comte Vlad Dracul chez Francis Ford Coppola, tente ici derrière sa mine blafarde et ses traits tiraillés par la fatigue de se montrer apte à menacer la mission évangélique de notre anti-héros, avec une réussite très relative : entouré de gros bras à la psychologie et au look des plus conventionnels et à la débilité surlignée dès les premiers moments, le danger qu'il représente s'avère quasi-inexistant et les rapports de force manquent dès lors d'enjeux narratifs.

Reste alors la longue traversée d'Eli dans les plaines désertiques qui jadis furent notre monde, ponctuée par quelques scènes d'actions spectaculaires et de trop nombreuses envolées logorrhéiques sur les principes éculés de la religion, présentés ici au gré d'un scénario prenant des directions inattendues (on nous vendait au départ un thriller d'action sanguinaire post-apo', on se retrouve avec une pub' de luxe sur les bienfaits du catholicisme), convaincantes dans leur élaboration (belle surprise finale qu'on ne voit pas venir), mais manquant de finesse de par leur résonance sentencieuse.

On the Road, Jack !

Le Livre d'Eli n'est pourtant pas un échec malgré ses bases fantastiques friables et ses élans moralistes réfutables. Car si la rencontre entre La Passion du Christ et Mad Max 2 ici ne prend pas, il est des qualités qui rendent le tripe des frères Hughes envoûtant. A commencer par la mise en scène, nerveuse et inspirée, calibrée pour trancher entre les moments d'instabilité les plus sombres et les passages violents les plus dynamiques. Ce clivage donne le coup de fouet nécessaire pour empêcher le long métrage de lasser l'attention tout en diminuant les effets néfastes des passages à vide inhérents à ce genre de construction narrative.

Ajoutons à cela une photographie léchée à travers un gris noirâtre particulièrement immersif et un véritable sens du plan d'ensemble dont Don Burgess est à l'origine, une conscience innée et esthétisante du décor et de ses richesses qui avait déjà fait le bonheur d'Antartica, prisonniers du froid de Frank Marshall ou encore de Spider-Man de Sam Raimi. Tout cela participe à ce sentiment de satisfaction concluant davantage à une réussite globale qu'à un naufrage catholico-musclé sans âme, d'autant que Le Livre d'Eli se réclame d'être bien plus qu'une honnête série B : le charme est là, en plus.




En bref : Derrière son discours moraliste lourdingue et un méchant totalement dénué de charisme se cache un film à l'intrigue captivante et à la mise en scène nerveuse et maîtrisée. Le Livre d'Eli tranche nettement avec l'approche formelle de La Route, sorti quelques semaines plus tôt, pour nous offrir une nouvelle vision post-apocalyptique du monde que peut devenir le nôtre à force de tendre vers cette destinée. L'approche fantastique élude hélas un propos qui n'en avait pas besoin du fait de ses ficelles sentencieuses un brin trop épaisses. Reste Denzel Washington, impeccable dans ce rôle de moine-guerrier que rien ni personne ne pourra arrêter.

Rang : B

Screen Actors Guild Awards 2010 : un avant-goût aux Oscars  

Posted by Azariel in

Samedi s'est déroulée la cérémonie donnée par la Screen Actors Guild, puissante association professionnelle des acteurs de cinéma et de télévision, en présence d'une pluie de constellations d'étoiles hollywoodiennes, afin de décerner comme chaque année depuis 1995 les Screen Actors Awards. Un bon moyen de prendre la température avant les prochains Oscars et après la cérémonie des Golden Globes.

Point intéressant, le prix de la meilleure distribution, l'an dernier dévolu aux acteurs de Slumdog Millionaire et l'an d'avant à ceux de No Country for Old Men, futurs vainqueurs de la statuette suprême aux Oscars, a cette fois été décerné à l'équipe de... Inglourious Basterds ! Signe ? Possible. On aimerait bien à CinéBlog, en tout cas. Mais la concurrence est rude, en particulier avec le bébé de James Cameron qui n'en finit plus de battre tous les records (ce n'est plus qu'une question d'heures avant que celui établi par Titanic ne soit qu'un lointain souvenir). Une chose est cependant certaine, la statuette du meilleur second rôle dans un film dramatique ne devrait pas échapper à Christoph Waltz, logiquement plébiscité tant aux Golden Globes qu'aux Screen Actors Guild Awards !

Hier le Golden Globes, aujourd'hui le Screen Actors Guild Award, demain l'Oscar !

Autres résultats des plus intéressants, la victoire de Jeff Bridges et Sandra Bullock, récompensés respectivement pour leur prestation dans Crazy Heart et The Blind Side. Les deux acteurs ayant déjà été honorés aux Golden Globes, nul doute que les Oscars leur tendent les bras !


Retour sur la liste complète des vainqueurs dans la catégorie "cinéma" :

MEILLEUR ACTEUR DANS UN PREMIER RÔLE
Jeff Bridges pour Crazy Heart (2009)

MEILLEURE ACTRICE DANS UN PREMIER RÔLE
Sandra Bullock pour The Blind Side (2009)

MEILLEUR ACTEUR DANS UN SECOND RÔLE
Christoph Waltz pour Inglourious Basterds (2009)

MEILLEURE ACTRICE DANS UN SECOND RÔLE
Mo'Nique pour Precious (2009)

MEILLEURE DISTRIBUTION
Les acteurs d'Inglourious Basterds (2009)


Jeff Bridges, récompensé pour sa prestation dans Crazy Heart

Retrouvez sur IMDb la liste complète des nominés et vainqueurs des catégories cinéma et séries télévisées.

Golden Globes 2010 : les résultats  

Posted by Astraal in


C'est Avatar qui remporte la mise ! James Cameron a obtenu cette nuit le Golden Globe du meilleur réalisateur et celui du meilleur film.


Voici la liste complète des vainqueurs :

BEST MOTION PICTURE - DRAMA
Winner: Avatar (2009)

BEST PERFORMANCE BY AN ACTOR IN A MOTION PICTURE - DRAMA
Winner: Jeff Bridges for Crazy Heart (2009)

BEST PERFORMANCE BY AN ACTOR IN A MOTION PICTURE - MUSICAL OR COMEDY
Winner: Robert Downey Jr. for Sherlock Holmes (2009)

BEST PERFORMANCE BY AN ACTRESS IN A MOTION PICTURE - DRAMA
Winner: Sandra Bullock for The Blind Side (2009)

BEST MOTION PICTURE - MUSICAL OR COMEDY
Winner: The Hangover (2009)

BEST TELEVISION SERIES - MUSICAL OR COMEDY
Winner: "Glee" (2009)

BEST DIRECTOR - MOTION PICTURE
Winner: James Cameron for Avatar (2009)

BEST PERFORMANCE BY AN ACTOR IN A SUPPORTING ROLE IN A MOTION PICTURE
Winner: Christoph Waltz for Inglourious Basterds (2009)

BEST PERFORMANCE BY AN ACTRESS IN A SUPPORTING ROLE IN A SERIES, MINI-SERIES OR MOTION PICTURE MADE FOR TELEVISION
Winner: Chloë Sevigny for "Big Love" (2006)

BEST TELEVISION SERIES - DRAMA
Winner: "Mad Men" (2007)

BEST FOREIGN LANGUAGE FILM
Winner: Das weisse Band - Eine deutsche Kindergeschichte (2009)

BEST PERFORMANCE BY AN ACTOR IN A TELEVISION SERIES - MUSICAL OR COMEDY
Winner: Alec Baldwin for "30 Rock" (2006)

BEST SCREENPLAY - MOTION PICTURE
Winner: Up in the Air (2009) - Jason Reitman, Sheldon Turner

BEST PERFORMANCE BY AN ACTRESS IN A MINI-SERIES OR A MOTION PICTURE MADE FOR TELEVISION
Winner: Drew Barrymore for Grey Gardens (2009) (TV)

BEST PERFORMANCE BY AN ACTOR IN A MINI-SERIES OR A MOTION PICTURE MADE FOR TELEVISION
Winner: Kevin Bacon for Taking Chance (2009) (TV)

BEST PERFORMANCE BY AN ACTRESS IN A MOTION PICTURE - MUSICAL OR COMEDY
Winner: Meryl Streep for Julie & Julia (2009)

BEST MINI-SERIES OR MOTION PICTURE MADE FOR TELEVISION
Winner: Grey Gardens (2009) (TV)

BEST ORIGINAL SCORE - MOTION PICTURE
Winner: Up (2009) - Michael Giacchino

BEST ORIGINAL SONG - MOTION PICTURE
Winner: Crazy Heart (2009) - T-Bone Burnett, Ryan Bingham ("The Weary Kind")

BEST PERFORMANCE BY AN ACTRESS IN A TELEVISION SERIES - DRAMA
Winner: Julianna Margulies for "The Good Wife" (2009)

BEST PERFORMANCE BY AN ACTOR IN A TELEVISION SERIES - DRAMA
Winner: Michael C. Hall for "Dexter" (2006)

BEST ANIMATED FILM
Winner: Up (2009)

BEST PERFORMANCE BY AN ACTOR IN A SUPPORTING ROLE IN A SERIES, MINI-SERIES OR MOTION PICTURE MADE FOR TELEVISION
Winner: John Lithgow for "Dexter" (2006)

BEST PERFORMANCE BY AN ACTRESS IN A TELEVISION SERIES - MUSICAL OR COMEDY
Winner: Toni Collette for "United States of Tara" (2009)

BEST PERFORMANCE BY AN ACTRESS IN A SUPPORTING ROLE IN A MOTION PICTURE
Winner: Mo'Nique for Precious: Based on the Novel Push by Sapphire (2009)

(source : IMDB)

L'Agence tous Risques : le trailer explosif !  

Posted by Azariel in


"L'agence tous riiiiiiiisques, c'est vraiment, la dernièèèèèère chaaaaance au derniiiier momeeeeent !" Les voilà de retour, et au cinéma s'il-vous-plait ! Série phare des eighties, L'Agence tous Risques (The A-Team dans la langue de George Bush), au même titre que Shérif, fais-moi peur ! ou encore Starsky & Hutch, a l'honneur d'avoir sa petite adaptation cinématographique pour le plus grand bonheur des vieux cons que nous sommes. Avec Joe Carnahan derrière la caméra (Narc, Mi$e à prix), le film réunira une belle brochette d'acteurs à commencer par Liam Neeson (Hannibal), Bradley Cooper (Futé), Sharlto Copley (Looping), Quinton "Rampage" Jackson (Barracuda) et la belle Jessica Biel (Amy Allen). Rappelons également que le producteur n'est autre que Ridley Scott et le producteur exécutif son petit frère Tony Scott, rien que ça !

Produit par la 20th Century Fox, L'Agence tous Risques devrait débouler sur nos écrans le 30 juin 2010. Croisons les doigts pour que les fans de la première heure ne crient pas au scandale et retrouvent dans cette adaptation tout ce qui faisait le charme de l'oeuvre originale, parce que bon Dieu, nous aussi on préfère quand un plan se déroule sans accroc !

Et de 2 !  

Posted by Astraal in ,

Les deux premières places sur le podium des plus gros succès cinématographiques de tous les temps sont désormais occupées par deux films d'un seul réalisateur. Vous l'avez rêvé ou pas, James Cameron l'a fait !
Avatar a engrangé en 25 jours un total de 1,131,752,464 $. Le film dépasse ainsi Le Seigneur des Anneaux : Le Retour du Roi (1,119,110,941 $) et s'empare de la médaille d'argent ... pour l'instant. Après un tel succès en si peu de temps, il semble quasiment assuré qu'Avatar explose le record jugé insubmersible de Titanic !


Comme ce dernier en son temps, Avatar, voit ses recettes hebdomadaires se maintenir à un très haut niveau de rentabilité à l'inverse d'un Dark Knight, justement, qui commença plus fort encore mais qui a vu ses"rentes" diminuer au fil du temps.
Avatar fut le 5e film a dépasser la barre d'1 milliard de dollars après les films précités et Pirates des Caraibes : le secret du Coffre Maudit à nouveau 4e plus gros succès.
Le film va battre certains records de vitesse au dela de 350 millions de dollars détenus auparavant par The Dark Knight et a d'ores et déja explosé de nombreux records en tout genre (plus gros succès en 3D, plus gros succès de SF, etc.)



S'il est possible (voire probable) que le film dépasse les 2 milliards de dollars, certains parient sur 4 ou 5 milliards !
Cela semble un peu fantaisiste. Toujours est-il que si le film continue dans cette voie James Cameron risque de détrôner Steven Spielberg au titre suprême de réalisateur le plus rentable de tous les temps.
Le même Spielberg avait, dans le passé, également réussi le doublé au box office mondial lorsqu'en 1993 Jurrassic Park pulvérisait lui aussi les records établis par E.T l'Extraterrestre.
La suite de Cinéblog économie lorsque Avatar sera "le roi du monde" !


Les 15 plus gros succès cinématographiques de l'histoire


Titanic, de James Cameron (1997)
Avatar, de James Cameron (2009)
Le Seigneur des Anneaux : Le Retour du Roi, de Peter Jackson (2003)
Pirates des Caraïbes : Le Secret du Coffre Maudit, de Gore Verbinski (2006)
The Dark Knight, de Christopher Nolan (2008)
Harry Potter à l'Ecole des Sorciers, de Chris Columbus (2001)
Pirates des Caraïbes : Jusqu'au Bout du Monde, de Gore Verbinski (2007)
Harry Potter et l'Ordre du Phénix, de David Yates (2007)
Harry Potter et le Prince de Sang Mêlé, de David Yates (2009)
Star Wars : Episode I - La Menace Fantôme, de George Lucas (1999)
Le Seigneur des Anneaux : Les Deux Tours, de Peter Jackson (2002)
Jurassic Park, de Steven Spielberg (1993)
Harry Potter et la Coupe de Feu, de Mike Newell (2005)
L'Âge de glace 3 : Le Temps des Dinosaures, de Carlos Saldhana & Mike Thurmeier (2009)
Spider-Man 3, de Sam Raimi (2007)