Le casting n'inspirait déjà pas confiance : en effet, lorsque Kate Hudson ou Dane Cook occupent l'un des rôles principaux, cela n'augure définitivement rien de bon. Après visionnage, il s'avère que nos appréhensions concernant La Copine de mon meilleur ami étaient fondées. Le plus gênant est que cela ne nous surprendra même pas.
Voyez le tableau : quand les hommes sont sur le point de se faire larguer par leur petite amie, ils font appel à Tank, véritable anticupidon par excellence, dont la technique "apparemment" infaillible consiste à séduire puis écoeurer les jeunes demoiselles au point de les faire ramper manu militari vers leur ancien conjoint. "Apparemment" car le jour où le meilleur ami de Tank a besoin de son aide, ce dernier devient la proie de sentiments qu'il n'envisageait guère jusqu'à ce que son regard se perde dans la longue chevelure soyeuse d'Alexis.
Si vous pensiez déjà le synopsis hautement risible, soyez rassurés, c'est que vous n'avez pas encore vu le résultat à l'écran. Les inepties et autres grossièretés s'enquillent aussi promptement que le scénario écume moult poncifs sur les rapports qu'entretiennent hommes et femmes. Si l'on a bien compris que chiens et chats ne font pas de canaris ensemble, Howard Deutch aurait pu rendre le constat un rien plus troublant en évitant de systématiser chaque rebondissement avec la mauvaise idée de les rendre aussi prévisibles les uns les autres. Aucun risque n'est pris pour tenter de sortir des gongs de la comédie typique et ultraconsensuelle, expliquant de ce fait qu'aucun risque ne mérite d'être pris par le spectateur sauf si son temps est aussi peu précieux que son argent.
Voyez le tableau : quand les hommes sont sur le point de se faire larguer par leur petite amie, ils font appel à Tank, véritable anticupidon par excellence, dont la technique "apparemment" infaillible consiste à séduire puis écoeurer les jeunes demoiselles au point de les faire ramper manu militari vers leur ancien conjoint. "Apparemment" car le jour où le meilleur ami de Tank a besoin de son aide, ce dernier devient la proie de sentiments qu'il n'envisageait guère jusqu'à ce que son regard se perde dans la longue chevelure soyeuse d'Alexis.
Si vous pensiez déjà le synopsis hautement risible, soyez rassurés, c'est que vous n'avez pas encore vu le résultat à l'écran. Les inepties et autres grossièretés s'enquillent aussi promptement que le scénario écume moult poncifs sur les rapports qu'entretiennent hommes et femmes. Si l'on a bien compris que chiens et chats ne font pas de canaris ensemble, Howard Deutch aurait pu rendre le constat un rien plus troublant en évitant de systématiser chaque rebondissement avec la mauvaise idée de les rendre aussi prévisibles les uns les autres. Aucun risque n'est pris pour tenter de sortir des gongs de la comédie typique et ultraconsensuelle, expliquant de ce fait qu'aucun risque ne mérite d'être pris par le spectateur sauf si son temps est aussi peu précieux que son argent.
Rang : D
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on 21 août 2009
at vendredi, août 21, 2009
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Critique de film
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